HISTOIRE DU VILLAGE DE SAINT ANDRE D'OLERARGUES



photo en tete.

Cinquante ans de luttes entre la communauté de St André d’Olérargues et les Seigneurs du lieu depuis 1757 à propos des privilèges féodaux

L'objectif de ce site est de faire connaître l'histoire pré-révolutionnaire du village au XVIII° siècle à la lumière du déchiffrage et de la transcription de documents éparses et manuscrits conservés aux archives de la commune. C'est à la fois un travail d'histoire et de mémoire pour expliquer aux générations futures comment vivaient les générations passées.



Sommaire chronologique de l'étude

PROLOGUE
CHAPITRE I - Contexte historique.
CHAPITRE II - Les protagonistes.
CHAPITRE III - Chronique de l’année 1757 à Saint André d’Olérargues.Il y a deux cent soixante ans !
CHAPITRE IV - Le Seigneur local Messire de Vivet de Servezan.
CHAPITRE V - Le début des hostilités avec Messire Vivet de Servezan.
CHAPITRE VI - Restitution et vérification du Compoix.
CHAPITRE VII - La vie continue mais le litige aussi.
CHAPITRE VIII - Les héritiers de Messire de Vivet de Servezan relancent les hostilités.
CHAPITRE IX - La vie continue avec ses difficultés.
CHAPITRE X - Dénouement (provisoire) du conflit entre la communauté et les Seigneurs du lieu.
CHAPITRE XI - Quelques délibérations de la vie ordinaire avant la reprise des hostilités.
CHAPITRE XII - Changement de Seigneur reprise des hostilités.
CHAPITRE XIII - Lexique.



CHAPITRE XI



Quelques délibérations de la vie ordinaire avant la reprise des hostilités.



Liste des délibérations prisent lors des assemblées de la communauté depuis l'accord amiable de 1772 avec le Seigneur jusqu'à environ 1780.

Délibération de l’assemblée communale du 19 mai 1772 Répartition des impositions

Délibération de l’assemblée communale du 27 septembre 1772 Approbation et vérification des divers emprunts en cours.

Délibération de l’assemblée communale du 29 avril 1773 Répartition des impositions

Délibération de l’assemblée communale du 27 juin 1773 Finalement les titres et compoix qui devaient être mis dans un coffre avec double clés, seront gardés dans une armoire située dans l’église.

Délibération de l’assemblée communale du 27 octobre 1773 Délibération pour plaider et emprunter contre les contrevenants des défrichements

Délibération de l’assemblée communale du 19 janvier 1774 Litiges avec les particuliers ayant fait des coupes de bois illicites

Délibération de l’assemblée communale du 07 mai 1774 Répartition des impositions

Délibération de l’assemblée communale du 12 septembre 1774 Promulgation des interdictions de faire paitre les cochons et faire tomber les glands dans les bois communaux avant les dates choisies.

Délibération de l’assemblée communale du 09 octobre 1774 Enchère pour une coupe de bois, avec "dessous de table" ouvertement affiché.

Du dimanche neuvième octobre mille sept cents soixante et quatorze, heure de midy au lieu de St André D’Oleyrargues s’est présenté Sieur Pierre Borrelly boulanger de Bagnols qui a offert de la coupe du bois compris dans la délibération du 12 septembre dernier douze cent cinquante livres payable comptant à savoir ce qui reviendra au Seigneur de St Christol, et ce qui comptera à la communauté au premier terme des impositions, quarante huit livres à titre d’épingles (Dons et gratifications que l’on ajoutait au prix d’un marché, aujourd’hui on dirait « dessous de table » ), à la Demoiselle de St Christol une fois payé et en outre quarante cinq livres pour les frais des enchères, ceux du bail ou de trois extraits dudit bail tout compris à condition qu’il lui sera donné quatre années de temps à compter d’aujourd’hui.

Et six mois de sorte qu’il ne pourra néanmoins commencer de couper les chênes blancs qu’après six mois du jour de la déclaration qui ci sera faite en conformité des règlements de faire bois net, de se conformer à l’ordonnance des eaux et forêts, de règlement postérieur, de donner caution et a signé.

Sieur Jean Martin ménager de la Bruguière offre treize cent livres et aux autres, conditions de la première offre et a signé.

Le Sieur Borrelly offre du prix de la coupe quatorze cent livres, n’exige que trois ans pour couper et aux autres conditions de la première offre et a signé.

Sieur André François Charmasson ménager de Bagnols offre du prix de la coupe quinze cent livres à condition qu’il aura quatre ans pour couper et autres conditions de la première offre et a signé.

Jean Terrisse de la Bruguière offre quinze cent cinquante livre et autres conditions de la première offre, et a signé

Ledit Sieur Borrelly offre seize cent livres et a signé.

Le Sieur Jean d’Aire offre dix-huit cent livre et un louis d’épingle de plus pour Mademoiselle de St Christol et huit ans de coupe et a signé.

Le Sieur Charmasson offre dix-huit cent cinquante livres conformément à la dernière offre et a signé.

Ledit Sieur Borrely aux conditions de la dernière offre cinq ans de coupe seulement et a signé.

Résultat des enchères : première enchère 1250 livres + 48 livres de dessous de table + 45 livres de frais et 4 années de délai et dernière enchère 1850 livres + 48 livres + 1 louis de dessous de table + 45 livres de frais et 5 années de délai .

Délibération de l’assemblée communale du 09/03/1775 Election des consuls Jean Baptiste Charavel premier consul et Jean André second consul et pour conseillers politique Pierre Teyssier fils d’Antoine, Louis Beylesse fils de Laurent, Pierre Lauron fils d’autre, Jean Vignal fils d’autre.

Délibération de l’assemblée communale du 30 may 1775 Répartition des impositions

Délibération de l’assemblée communale du 25 Novembre 1775 Mise en vente de la coupe de bois broussaille au tènement appelé le valat de La Roque qui confront du levant les terres du Mas de Blanquet, du couchant le sentier qui monte à la terre appelée des Boucouses, de bise le valat qui fait la séparation des bois du Sieur André de la Roque et du midi le chemin allant de Verfeuil à Bagnols.

François Dumas boulanger de la ville de Bagnols s’est présenté et a offert de la coupe aux conditions de la première offre la somme de cent soixante livres et de donner pour caution Jacques Roman boulanger dudit Bagnols ledit Dumas s’étant signé la caution ici présenté étant illettrée.

Sieur Jean Vignal fils de Jean, laboureur dudit Mas de Cellier a offert de ladite coupe aux conditions des précédentes offres la somme de deux cent soixante livres et a signé.

Délibération de l’assemblée communale du 04 juin 1776 Répartition des impositions

Délibération de l’assemblée communale du 16 juin 1776 consernant les baux communaux.

Bail de la levée de la taille de la communauté signé avec Jean Quet fils de Jacques habitant du Mas de Marcel à St Marcel de Careiret avec droit de lever quatre deniers par livre collectée. Estienne Sauze fils de feu Joseph, ménager habitant de la paroisse de St Marcel s’est volontairement porté caution.

Bail du four à cuire le pain de la communauté signé avec Marc Sauze habitant de St André d’Oleyrargues pour un an moyennant une rente de trente livres. Estienne Sauze fils de feu Joseph, ménager habitant de la paroisse de St Marcel s’est volontairement porté caution.

Délibération de l’assemblée communale du 30 septembre 1776 Promulgation des interdictions de faire paitre les cochons et faire tomber les glands dans les bois communaux avant les dates choisies.

Délibération de l’assemblée communale du 30/11/1776 Election des consuls Pierre Teyssier fils d’Antoine premier consul et Jean André second consul et pour conseillers politique Joseph Vignal André Teyssier Estienne frac du Mas de Cellier JB Charavel Pierre Lauron fils d’autre Jean Vignal.

Délibération de l’assemblée communale du 02 janvier 1777

A été délibéré qu’il importe de faire retirer les actes et pièces concernant la communauté d’entre les mains de ceux qui peuvent en avoir et de les mettre en dépôt dans le coffre de la communauté pour y avoir recours en cas de besoin. André Teissier, conseiller politique, fils d’Antoine est nommé pour se charger de cette tache.
De plus Me Ode greffier consulaire ne désirant plus remplir cette fonction, c’est Me Suel notaire royal de St Paulet de Caisson qui assure cette charge.

Délibération de l’assemblée communale du 04 mai 1777 Répartition des impositions

Délibération de l’assemblée communale du 06 juillet 1777 Répartition des impositions

Délibération de l’assemblée communale du 06 juillet 1777 Renouvellement des baux communaux.

Bail de la levée de la taille de la communauté signé avec Jean Vignal habitant à St André d’Olérargues avec droit de lever quatre deniers par livre collectée.

Bail du four à cuire le pain de la communauté signé avec Noël Dardailhon habitant de St André d’Oleyrargues pour un an moyennant une rente de quarante cinq livres.

Délibération de l’assemblée communale du 30/11/1777 Election des consuls Pierre Lauron premier consul et Joseph Vignal second consul et pour conseillers politique Jean Mégier du mas, Pierre Bégon, Simon Puget, Jean Vignal, André Teissier, Jean Baptiste Charavel. A aussi été désigné comme greffier Consulaire Antoine Allemand de Cavillargues.

Délibération de l’assemblée communale du 19 mai 1778 Répartition des impositions

Déclaration de l’assemblée communale du 03 aout 1778

Le trois août mille sept cent soixante et dix huit, s’est présenté Simon Puget devant le greffe consulaire de la communauté de St André d’Oleyrargues qu’il désirait défricher un terrain lui appartenant au quartier appelé le Serre inculte et sans production depuis plus de cent ans, pour jouir des exemptions portées par la déclaration du Roy du 07 juillet 1770, contenant trois eyminées (environ 2400 m²), confrontant du levant le valat, du couchant Estienne Frach, de bise les terres de Jean Prade et du marin Henry Jouvenel.

Délibération de l’assemblée communale du 06 septembre 1778 Le Prieur Jean Joseph Arène demande que soit agrandie et réparée la maison presbytérale, croyant faire pression sur la communauté dépose une requette auprès de Monsieur l'Intendant du Langudoc. Il aurait peut-être obtenu gain de cause s'il avait demandé directement aux consuls.

Deux remarque concernant cette délibération. L'assemblée se réunit dans le local du four commun. Deuxièmement Michel Soullier est maintenant "procureur fiscal" (le Procureur Fiscal était l'officier chargé de représenter le "Ministère Public") Il a bien poursuivi sa route, lui à qui le Seigneur de Servezan pendant l'épisode de la vérification du Compoix s’adressait d’une manière méprisante, le traitant de drôle, lui avait même imposé silence, et l’avait accusé de crime de félonie envers son Seigneur et l’avait physiquement menacé, lui disant qu’il s’en repentirait, qu’on le ruinerait, qu’on l’écraserait, et qu’on le mettrait à l’hôpital!

L’an mil sept cent soixante dix huit et le sixième jour du mois de septembre après midy au lieu de St André d’Olérargues, dans le four commun par devant le Sieur Pierre Lauron premier consul, Mr le Juge dument averti et absent, le Sieur Michel Soullier procureur fiscal présent, le conseil politique de la communauté dudit St André s’est assemblé en la forme ordinaire y étaient présents et délibérant Sieurs Joseph Vignal second consul, Pierre Teissier ex premier consul, Jean Baptiste Charavel, André Teissier, Jean Vignal, Simon Puget, Pierre Bégon.

A laquelle assemblée a été exposé par ledit premier consul qu’il a été signifié de la part de Mr Jean Joseph Arène prieur curé de cette paroisse, une requête par luy présenté à Monseigneur l’Intendant en demande de certaines augmentations et réparations qu’il prétend que la communauté est obligé de faire à la maison presbytérale, certain que Sa Grandeur prendra au pied de la requête portant que la communauté sera tenue d’y répondre en conséquence d’une délibération ce qu’il appartiendra.

Sur quoy à la lecture faite de ladite copie de la requête datant du 20 avril dernier, il a été délibéré que les réparations prétendues par ledit prieur n’ont été nécessaires, sans doute, que par le défaut d’entretien que par conséquent la communauté n’est pas obligée de les faire, que c’est au contraire le Sieur prieur ou son prédécesseur qui doivent être tenus comme usufruitiers; qu’à l’égard des prétendues augmentations doivent faire mention d’argumentation dans ladite requête, outre que la communauté se trouve une des plus pauvre et des plus petites du diocèze, elle ne prévoit pas que ladite maison presbytérale en soit susceptible d’aucune, le logement actuel luy paraissant assez grand et assez commode. Plus avant n’a été délibéré les sachant écrire se sont signés.
Soullier, Lauron, Charavel, Bégon, Teissier, Vignal, Allemand greffier.


Déclaration du 06 sept 1778

Ce jour six septembre mille sept cent soixante et dix huit, s’est présenté Pierre Bégon devant le greffe consulaire de la communauté de St André d’Oleyrargues qu’il désirait défricher un terrain lui appartenant au quartier appelé la Fumade inculte et sans production depuis plus de cent ans, pour jouir des exemptions portées par la déclaration du Roy du 07 juillet 1770, contenant deux eyminées (environ 1600 m²) qu’il veut mettre en production de fruits, confrontant du levant, du marin et de bise les valats et du couchant le chemin.

Ce jour six septembre mille sept cent soixante et dix huit, s’est présenté Jean Vignal du mas de Cellier devant le greffe consulaire de la communauté de St André d’Oleyrargues qu’il désirait défricher un terrain lui appartenant au quartier appelé la Combe inculte et sans production depuis plus de quarante ans, pour jouir des exemptions portées par la déclaration du Roy du 07 juillet 1770, contenant deux eyminées (environ 1600 m²) qu’il veut mettre en production de fruits, confrontant du levant les pattus, du marin Estienne Frach, de bise le chemin et du couchant le valat. De ce jour s’est présenté Jean Fabrègues du lieu de St Christol devant le greffe consulaire de la communauté de St André d’Oleyrargues qu’il désirait défricher un terrain lui appartenant au quartier appelé la Combe inculte et sans production depuis plus de quarante ans, pour jouir des exemptions portées par la déclaration du Roy du 07 juillet 1770, contenant six eyminées (environ 4800 m²) qu’il veut mettre en production, confrontant du levant le chemin, du marin et de bise Louis Fontanille et Antoine Mazan et du couchant Joseph Lauron.

Délibération de l’assemblée communale du 08/12/1778 Election des consuls Pierre Lauron premier consul reconduit et Joseph Vignal second consul reconduit et pour conseillers politique Antoine Mazan, Louis Beilesse fils de Laurens, Joseph Prade fils de feu Jean.

Délibération de l’assemblée communale du 21/12/1778concernant la réglementation et la gestion des bois dont certains contrevenants abusent illégalement.

L’an mil sept cent soixante dix huit et le vingt et unième jour du mois de décembre après midy le conseil convoqué et assemblé dans la maison commune à St André d’Olleyrargues par devant Me Blanchard juge de La Roque plus ancien exerçant la justice audit St André auxquels ont été présents et opinants Mr Pierre Lauron et Joseph Vignal consuls Jean André ex consul, Jean Mégier, Joseph Prade fils de Jean, Louis Beilesse, Pierre Bégon, Simon Puget conseillers politiques. Auxquels a été proposés par lesdits consuls, que malgré leurs soins, les avertissements et mes menaces qu’ils ont faits, on dégrada entièrement les bois qui seraient d’un produit considérable soit pour les coupes qu’on pourrait en faire, soit par l’engrais des cochons, s’ils étaient bien aménagés, que des particuliers détruisent même les chênes blancs au prétexte des besoin qui n’existent point et qu’enfin plusieurs ont vendu à leurs profits hors du taillable et la juridiction du bois en contravention de tous les règlements en vigueur, requérant de délibérer.

Sur quoy l’assemblée a unanimement délibéré que la coupe du bois taillis et broussailles du tènement ou triage appelé Mas de Blanquet dépendant de ladite communauté dont les confronts seront désignés dans les enchères, sera exposé et mis aux enchères pour la vente de ladite coupe être ensuite passé à ceux qui feront la condition la meilleure en donnant caution pour le prix être ensuite employé, en moins imposé déduction faite du quart du prix pour le Seigneur et qui ledit bailliste sera chargé de se conformer aux ordonnance des Eaux et Forêts et règlements postérieurs, de couper la suite et faire bois net sans pouvoir repasser ni couper aucuns chênes blancs fûts gros ou petits.

2° qu’il ne sera permis à aucun habitant de vendre et transporter hors la juridiction aucune espèce de bois, soit en nature ou travaillé ni en faire son profit sauf pour l’usage d’un besoin sans abus.

3° que lorsque les habitants auront besoin pour leur usage particulier de faire couper des chênes blancs pour des poutres, planches et chevrons pour réparer leurs maisons, ils seront obligé de rapporter un billet des consuls qui seront en exercice qui en constatera la nécessité et sera visé par l’un des officiers, le tout sans frais, avant de pouvoir couper lesdits chênes et en se conforment aux ordonnance et règlements de sa Majesté.

4° que le tènement ou triage appelé la Plaine et prairie de Combarons confrontant du levant le valat de l’Escudelon du couchant le valat de Layac, de bise le chemin de Bagnols et le sentier qui vient d’Escatte et va aboutir au Mas de Sellier et du marin la ligne qui sera tirée du levant au couchant sera et demeurera en réserve pour la vente de la coupe et être ensuite faite en son temps, sans qu’aucun habitant puisse prendre aucune espèce de bois dans ledit triage. Enfin que ceux qui contreviendront à quelqu’uns des arrêtés cy-dessus seront désignés par le garde bois et même condamnés sur le verbal des consuls ou de l’un d’eux en exercice au fait de la police à l’amende de dix livres pour chaque contravention dont trois livres pour le garde lorsqu’il aura verbalisé ou la confiscation des outils, que ceux qui ont commis des dégradations seront poursuivis et que la présente délibération sera affichée et publiée à la porte de l’église et de la maison commune un jour de dimanche à l’issue de la messe du prône afin que personne ne prétende l’ignorer.
Plus avant n’a été délibéré les sachant écrire se sont signés.
Soullier, Lauron, Bégon, Teissier, Allemand greffier.

Pour accéder à la page suivante cliquez ici.

CHAPITRE XII - Changement de Seigneur reprise des hostilités.



Pour accéder ou revenir aux autres parties, cliquer ici

PROLOGUE
CHAPITRE I - Contexte historique.
CHAPITRE II - Les protagonistes.
CHAPITRE III - Chronique de l’année 1757 à Saint André d’Olérargues.Il y a deux cent soixante ans !
CHAPITRE IV - Le Seigneur local Messire de Vivet de Servezan.
CHAPITRE V - Le début des hostilités avec Messire Vivet de Servezan.
CHAPITRE VI - Restitution et vérification du Compoix.
CHAPITRE VII - La vie continue mais le litige aussi.
CHAPITRE VIII - Les héritiers de Messire de Vivet de Servezan relancent les hostilités.
CHAPITRE IX - La vie continue avec ses difficultés.
CHAPITRE X - Dénouement (provisoire) du conflit entre la communauté et les Seigneurs du lieu.
CHAPITRE XI - Quelques délibérations de la vie ordinaire avant la reprise des hostilités.
CHAPITRE XII - Changement de Seigneur reprise des hostilités.
CHAPITRE XIII - Lexique.



Nous vous souhaitons une bonne lecture.